21 avril 2008
Anksunamun
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C’est triste il n’est pas là. Je ne le reverrais pas avant une éternité.
Nous sommes coincés chacun d’un côté d’une porte que rien n’ouvre sauf de fermer les yeux.
Pour quelques images il est à moi.
Pour quelques siècles nous serons l’un à l’autre.
Ses yeux allongés ne me regarderont plus d’une fresque bleue ni d’une guerre dans le sable.
J’ai vu ta mort : elle nous réunira bientôt.
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